Notre envoyée spéciale Laya a suivi la troupe d'artistes en furetant un peu partout en coulisses.
Depuis la rentrée 2015, les affiches du tout Londres sont accaparées par le nouveau spectacle Salut les Sorciers. Une plongée dans les souvenirs d'un apothicaire au son de l'émission éponyme de Glenda Chittock sur le RITM. Une comédie musicale nostalgique ? Des destins croisés de personnages titillant nos souvenirs de scolarité ? Les intellectuels les plus grincheux se sont inclinés : Salut les Sorciers se paye le luxe de remporter les faveurs du public tout en adoptant un ton à la fois sincère, léger et attendrissant.
Notre envoyée spéciale Laya a suivi la troupe d'artistes en furetant un peu partout en coulisses.
0 Commentaires
Dans son ouvrage « Aliens et sorcellerie : qui de la poule ou de l’œuf ? » Maximus Mungo, professeur et chercheur à l’école de sorcellerie Edadteatro à Saragosse, aborde certains faits majeurs qui ont impacté l’histoire de l’humanité.
Le Chicaneur > Vous abordez un sujet polémique qui a déjà fait couler beaucoup d’encre, majoritairement dans notre magazine. Quel est l’éclairage que vous avez voulu apporter sur ce sujet délicat ? Maximus Mungo > Il faut voir la réalité en face, dans l’histoire des sorciers, certains faits marquants sont glorieux et d’autres non. Qu’ils aient été bénéfiques ou non, ils ont pour origine des causes les plus diverses, que ce soit le résultat d’une stratégie patiemment élaborée ou bien d’une bévue totale. C > Pourriez-vous nous donner un ou deux exemples de faits incroyables ? MM > Je pourrais vous citer, par exemple, l’extinction des dinosaures : celle-ci a été en réalitée provoquée par des aliens mis en erreur par leur pilote automatique, leur indiquant la mauvaise planète. Il s’agissait pourtant d’une mission de la plus haute importance visant à protéger la Terre d’une invasion bactériologique potentielle venant de Mars.
L’actuelle directrice du Département de la justice magique a de grandes ambitions pour améliorer le quotidien des elfes de maison! Hermione Weasley nous livre ses convictions et son combat pour la protection des elfes. Sorcier du Soir: Comment est née la S.A.L.E ? (NDLR: Société d’Aide à la Libération des Elfes) Hermione Weasley : C’est parti d’un constat très simple alors que j’étais encore à l’école. Lors de ma quatrième année à Poudlard, j’ai pu voir les conditions abominables des elfes: ils n’étaient pas payés et travaillaient sans jamais s’arrêter, comme des esclaves. C’était insoutenable pour moi de voir ce système. Surtout que les sorciers n’étaient pas du tout d’accord pour abolir cet esclavagisme. Les supporters auront nié jusqu'au dernier moment, mais le verdict est finalement tombé. La semaine dernière, c'est la fameuse arbitre Miranda Paumette qui a annoncé, le teint livide, avoir elle-même testé Myles Nicholas, l'attrapeur des Chauves-souris de Ballycastle. Le résultat est sans appel : plusieurs heures après l'écrasante victoire face aux Frelons de Wimbourne, Myles Nicholas présentait encore des traces de Felix Felicis dans son organisme et sa magie. "Je n'y ai pas cru moi-même" a confié Mrs Paumette à Quidditch Magazine. "J'étais convaincue que ce n'était qu'un test de routine. Bien sûr, la demande était insistante, mais Nicholas est tellement bon qu'il n'a pas besoin de ça." |
Archives
Mai 2019
Trier par journal
Tous
|