
Les Moldus, tout comme nous, se sont très tôt intéressés au ciel et ont bénéficié, avant la signature du Code International du Secret Magique en 1689, des découvertes des sorciers d’exception vivant parmi eux.
![]() De tous temps, les hommes se sont tournés vers les cieux. Certains l’ont fait pour étudier les étoiles, comme le célèbre sorcier grec Ptolémée. D’autres, tels les centaures, se sont penchés sur les astres en espérant y lire l’avenir. À une certaine époque, heureusement révolue aujourd’hui, les sorciers scrutaient le ciel avec anxiété, craignant d’y voir apparaître la Marque des Ténèbres. De nos jours, on lève habituellement les yeux pour prévoir le temps à venir. Les Moldus, tout comme nous, se sont très tôt intéressés au ciel et ont bénéficié, avant la signature du Code International du Secret Magique en 1689, des découvertes des sorciers d’exception vivant parmi eux.
1 Commentaire
![]() Je suis aujourd’hui reçue par Anton Grukol, dit « la Massue Bulgare », l’actuel batteur des Vautours de Vratsa. La mâchoire carrée, le nez plusieurs fois cassé, le physique remodelé à coups de Cognards, je me sens réellement toute petite face à lui. Mon léger sourire timide censé détendre un peu l’atmosphère le laisse de granit. J’ai le droit de claquer plusieurs fois des doigts devant ses yeux ? Quidditch Magazine : Bonjour Anton, ou plutôt Zdrave comme on dit chez vous ! De passage à Londres la semaine dernière, vous vous êtes vu remettre le prix Horstaf. Pouvez-vous expliquer de quoi il s’agit ? Anton Grukol : C’est un titre qui récompense le coup de batte le plus prestigieux de l’année. Il est venu couronner celui que j’ai donné le mois dernier lors du match contre l’Irlande. Le Cognard avait rebondi contre deux poteaux de but et était venu frapper Milton Douglas qui se trouvait à 3 mètres de moi, lui faisant faire 3 tours sur son balai. Je n’en suis pas peu fier. |
Archives
Mai 2019
Trier par journal
Tous
|