Et cette nouveauté est sortie aujourd’hui même sous forme d’une nouvelle friandise de la marque : un adorable petit dragon de gélatine nommé Dragomou. Notre envoyée de la Gazette du Sorcier a pu participer à la première dégustation et a testé pour vous ses effets délirants.
Comme on pouvait s’y attendre, chaque espèce a une saveur différente, propre à sa couleur. Le Vert Gallois commun fleure bon la pomme, le Boutefeu chinois la fraise, le Portuguais à museau long l’orange… Mais hé là… Ce n’est pas qu’une simple saveur fruitée qu’on sent en bouche, mais aussi quelque chose de bien plus pétillant et remuant. Le temps de se rendre compte de ce qui se passe, nous nous retrouvons tous à tousser une gerbe de flammes verte, rouge, orange, etc… selon notre choix de saveur. Un bonbon crache-feu pour un jeune public, sérieusement ? Et pourtant, après un bref instant de surprise, nous nous rendons compte que les flammes créées sont agréablement tièdes et n’attaquent pas les personnes ou éléments proches. Un genre d’haleine lumineuse et pétillante, en somme : les effets du Dragomou sont garantis sans aucun danger pour tous les âges.
Et pourtant, ça aurait été bien dommage de rater la variété d’espèce proposées :
- Boutefeu chinois à la fraise,
- Vert Gallois commun à la pomme,
- Portuguais à museau long à l’orange,
- Noir des Hébrides au raisin,
- Opaloeil des Antipodes à la vanille
- Magyar à Pointes au chocolat
Au bout de quelques minutes de feu d’artifice, les effets finissent par s’estomper… mais pas notre bon plaisir. Si les flammes disparaissent, nous pouvons encore nous amuser à souffler une fumée colorée pour une petite dizaine de minutes environ. Certains d’entre nous sont doués et apprennent vite : eux ont même pu fulminer par les oreilles !
A la fin de la présentation, nous étions bien évidemment conquis. Le Dragomou bénéficie certes d’une publicité plutôt tapageuse de la part de FizzWizzBizzness, mais l’effet inattendu a bien été préservé. Nul doute que les couloirs de Poudlard renverront sous peu des éclairs de lumière colorée, que les rues de Pré-au-Lard deviennent les arènes de combats d’haleines enflammés, voire même que les réunions professionnelles les plus barbantes soient coiffées d’une légère fumée sucrée, en toute innocence.