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Toute l'actu du monde magique!

Le Chicaneur l'affirme : une vie extraterrestre existe, et elle est peut-être magique!

28/2/2016

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Sommes-nous seuls dans l’univers ? Cette grande question traverse les âges, les frontières magiques et moldues, et nombreux sont ceux qui se sont interrogés sur l’existence, ou au contraire, l’absence de vie, d’êtres évolués, différents ou semblables, ailleurs. Deux axes de réflexion découlent de cette interrogation : la solitude, et avec ça, le côté « nous sommes les seuls, il n’appartient qu’à nous de perdurer la vie » avec en parallèle « si la vie s’éteint sur notre Terre c’est fichu pour toujours » ; et la seconde, ce que j’appellerai « le partage » : effectivement, quand on pense à "vie extraterrestre", on se représente souvent une civilisation au moins aussi évoluée que la nôtre, voire parente à la nôtre! Peu de sorciers interrogés pensent que "vie extraterrestre" fait aussi référence à une simple cellule, au mieux un arbre, encore moins un animal. Plus souvent, il est question d’imaginer des animaux magiques, des sociétés évoluées (comme les Moldus), ou voire même des mondes magiques. Pourtant, la création du monde magique, tel qu’il existe sur Terre aujourd’hui, a une très faible probabilité d'exister ailleurs dans l'Univers.  La vie extraterrestre existe-t-elle vraiment ? ​

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Sans aucun doute la réponse est oui. De là à dire que l’on sait où, c’est une autre problématique. Statistiquement, sur l’ensemble de notre galaxie, et de l’univers, il est insensé de penser que nous sommes seuls. En 1961, un moldu, Frank Drake, a mis en équation  une estimation du nombre potentiel de civilisations extraterrestres. Ses travaux ont été, en réalité, mené secrètement en collaboration avec un sorcier, à une époque où les relations moldues et sorcières étaient plutôt mal vues. James Leivel, exobiomage amateur, cherchait de son côté des traces de particules, des sorts perdus, qui pourraient indiquer la présence de vie magique en dehors de notre système connu. Ouvert sur les cultures moldues, il en a conclu que si nous, sorciers, arrivions à cacher notre existence à nos voisins moldus par le biais d’artifices et de sortilèges, il n’était pas impossible que s’il existait ailleurs une civilisation magique, quelle qu’elle soit, elle puisse, de la même façon, se camoufler à notre regard, telle que recouverte par une gigantesque cape d’invisibilité.

Suite à cette constatation, et dans un sentiment d’ouverture sur le monde, il contacta un beau jour Frank Drake, exobiologiste de son état. Il rompit alors le secret magique dans le but d’utiliser des technologies et des connaissances longuement amassées par les Moldus pour en déduire l’existence et le lieu d’une vie extraterrestre. Les autorités de l’époque s’aperçurent de cette amitié étrange entre le sorcier et le moldu, et ils durent prétexter une relation amoureuse pour éviter que la foudre ne s’abattent sur eux (et accessoirement un sortilège d’amnésie sur Frank…) Ce qu’il en était de leur idylle n’est pas contée ici, en revanche, tous les deux mirent au point l’équation que j’évoquais plus haut : connue chez les moldus  comme « Equation de Drake », elle possède sept facteurs. Elle a son équivalent sorcier comme « Equation de Leivel », ajoutant un terme en plus (m :la probabilité d’une civilisation magique).


L’équation de Leivel s’écrit de la façon suivante : 

N=E x e x P x p x i x c x m x A

Où N représente le nombre de civilisation extraterrestres magiques dans notre galaxie avec laquelle nous pourrions rentrer en contact. Notre but ultime. Ce nombre, est fonction de E, le nombre d’étoile en formation par an dans notre galaxie (entre 10 et 50) ; e, la part de ces étoiles qui possèdent des planètes (environs 1 étoile sur 2) ; P, le nombre moyen de planètes propices à la vie qui gravitent autour de cette étoile (d’après notre système solaire, il y en a deux : Mars et la Terre) ; p est la fraction de ces planètes où la vie apparaît « pour de vrai » (dans notre cas, seulement sur la Terre), et dans l’ordre : la fraction des planètes où on peut trouver, i, une vie intelligente, c,  une civilisation capable et désireuse de communiquer, m, une civilisation magique. Dans notre cas, on est donc à 1 planète sur deux, ce qui est une moyenne très élevée. Le facteur A est le nombre d’années pendant laquelle vit en moyenne une civilisation. Si l’on prend en compte la civilisation comme étant capable de communiquer vers l’extra-système solaire, on peut prendre dans notre cas une centaine d’année, mais si c’est civilisation, quelle qu’elle soit, on peut majorer à 10000 ans. 

TOUT CA POURQUOI ? Tout ce calcul amène à UNE conclusion : la valeur de N, soit le nombre de civilisation intelligente magique et souhaitant communiquer avec nous est supérieur à 1. 1 étant notre civilisation. En conclusion de tous ces travaux, Drake & Leivel arrivèrent ensemble à pouvoir envisager au minimum une autre civilisation dans notre galaxie.  Ce qui nous conforte dans nos recherches de vie extraterrestre. 
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Que chercher?

La vie extraterrestre non capable de communiquer avec nous laisse quand même des pistes dans le sillage de sa planète et de son étoile. Une aubaine pour nous, s’il existe une planète de licornes arc-en-ciel, ou de monstres aquatiques, ils laisseront une trace dans leur atmosphère capable d’être décelée, car relativement proche par rapport à ce que l’on connaît de notre planète. De la même manière, si la civilisation dans notre galaxie nous cherche, elle verra précisément notre empreinte autour de la Terre. Non pas les multitudes de débris que les Moldus envoient dans l’espace et dont nous avons de plus en plus de mal à brouiller les signaux pour qu’ils nous laissent tranquilles, mais des traces du vivant. Parfois même, quelques traces de nos « sorts perdus » , à savoir l’énergie que l’on émet, et qui parfois n’aboutit pas à faire ce que l’on souhaite (très fréquent chez les jeunes sorciers, il est plus difficile de faire des « sorts perdus » une fois que l’on maîtrise la magie).

A partir de l’étude de notre planète, on sait que des éléments chimiques sont nécessaires à la vie : « CHNOPS », notre marque favorite de cocktail magique, ne tire pas son nom au hasard : chaque lettre représente les 6 composés essentiels à la vie sur Terre, à savoir : le Carbone, l’Hydrogène, l’Azote (Nitrogen en anglais), l’Oxygène, le Phosphore, et le Soufre. Moldus et sorciers, sans ces atomes, nous n’existons pas. Sur Terre, trois autres éléments sont à prendre en compte dans l’avènement de la vie sur notre planète : en tout premier lieu, la présence d’eau liquide, élément essentiel à l’arrivée de la vie sous forme unicellulaire. Mais aussi la présence de la tectonique des plaques, ce qui fait que nous ressentons parfois des tremblements de terre, ou la présence de tsunami, est un signe d’une planète vivante, c’est-à-dire avec un noyau en fusion, qui est un des éléments qui nous donne une température agréable à vivre. Et enfin, la présence d’un champ magnétique, qui lui, nous protège des rayonnements cosmiques envoyés depuis le soleil.

Ce sont ces 4 éléments qui permettent de déterminer si une planète est potentiellement propice à la vie. Attention, cela ne veut pas dire qu’elle est habitée, juste que les conditions sont remplies. On peut donc soit chercher les éléments « CHNOPS » dans l’atmosphère ou dans les rayons émanents, soit, lors de la découverte d’une étoile, trouver les planètes dites « telluriques »  qui se situent à « bonne » distance de leurs étoiles pour y trouver de l’eau liquide. Autant chercher une aiguille dans une botte de foin, sans pouvoir y lancer un « incendio » ! Pourtant, des chercheurs moldus trouvent régulièrement des planètes qui satisfont ces critères. Cependant, pas encore de découverte de vie extraterrestre qui seraient eux aussi composés par « CHNOPS »… s’ils sont construits comme nous, à base de carbone. Et c’est cette même empreinte que l’on laisse dans notre sillage, synonyme de l’existence d’un métabolisme photosynthétique produisant de l’oxygène, du dioxyde de carbone, la présence de notre couche d’ozone, autant d’éléments que l’on doit chercher dans l’espace. Secrètement, on espère que cette civilisation, magique ou pas, n’aie pas la capacité de masquer ce type d’empreintes, afin que l’on puisse, un jour, pouvoir les détecter, et pourquoi pas les rencontrer. 
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Et si elle était déjà entrée en contact avec nous ? ​

Fantasme ou réalité, les témoignages de rencontre avec la vie extraterrestre fleurissent à tout bout de champ, parfois pouvant mener à des mouvements dangereux et sectaires. Qu’en est-il réellement de nos rencontres avec les extra-terrestres ? Nous vous présenterons ici quelques témoignages clés de rencontres, ou d’observations étranges qui ont été vérifiées magiquement. Nous excluons tout témoignage moldu dans le cas où la magie a pu être utilisée pour lui faire croire à quelque chose qui n’est pas. Notamment, les divers sorts d’oubliettes à répétition qui laissent des séquelles, et que la mémoire reconstruit en fonction des croyances, ou des divers sorts « d’essais » de modification de mémoire, voire quelque fois, l’usage de l’impero a des temps où il n’était pas encore interdit. Le Chicaneur a analysé plus d’une centaine de témoignages recensés au cours de l’histoire, et vous propose cette analyse.
 
Les anciens moldus, lors de la mise en place de leurs religions, relatent des 10 plaies d’Egypte, dont une où le soleil ne vint plus éclairer de ses rayons le pays. Si ce fait a été repris par certains scribes et auteurs comme l’émergence d’une nouvelle religion, d’autres esprits, sorciers indépendantistes, tachèrent de relater au mieux ce qui se passa durant ces jours sans soleil :

« Lorsque les rondeurs de Râ se camouflent, cela n’est que traditionnellement observé quelques heures,  tout au plus. L’absence si longue de Râ ne peut être due à son simple voyage. Nous nous recueillîmes autour du temple, comme de nombreux autres. Les sacrifices traditionnels et les mets les plus goûteux furent déposés, mais la nuit perdura. L’esprit tourmenté, j’en discutai avec Menphoris le brave, et nous décidâmes, dans ce qu’il semblait être la seconde nuit, d’avancer vers cet astre qui empêchait les rayons de Râ de nous couvrir. L’œil s’habituant peu à peu à cette nouvelle nuit, nous rencontrâmes nombreuses bêtes dont le cycle était perturbé : des vaches ne sachant s’il fallait dormir ou manger, des coqs chantant à toutes heures de cette nouvelle nuit. Notre cycle humain fut sauvé de la folie avec l’aide des clepsydres, qui nous permirent de conserver un rythme régulier…

Nous avancions à pied, les chevaux étant trop perturbés pour en monter un. Nous marchâmes des heures durant, sortant des terrains fertiles et s’avançant peu à peu dans le désert, dont le sable était étonnement froid. Munis de torches, grignotant des dattes, nous fîmes quelques arrêts autour de feux pour nous prévenir de toute attaque bestiale. Au bout de deux clepsydres de notre départ, l’objet empêchant Râ de nous éclairer paraissait plus petit, et laissait filtrer de part et d’autre de son diamètre quelques rayons. Nos yeux, trop habitués à l’obscurité, clignèrent quelques fois, essayant d’apercevoir un quelconque détail. L’astre sombre semblait diminuer en taille, nous éblouissant d’autant plus à chaque diminution. Éclairé par Râ, il paraissait tantôt ocre, tantôt couleur sable. L’instant d’après, Râ est revenu, aucune trace de cet astre. La lumière et la chaleur nous atteignant, le sable commença à se réchauffer. Il nous fallait vite trouver de l’ombre.
»

Le récit de ce scribe anonyme peut laisser penser qu’un vaisseau de type circulaire soit en réalité à l’origine d’une des dix plaies d’Egypte. Quel était le but de ces visiteurs ? Simplement faire du tourisme ? Ou s’inspirer ? 
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Plus récemment : 6 août 2012 : Souvenez-vous, le monde scientifique est attentif à la chute d’un parachute d’un autre genre prêt à se poser … sur Mars. Curiosity, petit bijou de mécanique, porte en son sein de multiples appareillages en tous genres, prêt à déceler, entre autre, la présence d’eau (et de vie ?) sur notre voisine Mars. Si le projet est presque exclusivement moldu, quelques scientificomages ont pu se glisser dans l’équipe de conception, et quelques add-on ont pu être intégrés in fine. Sur Mars, se trouve donc une capsule invisible aux Moldus, qui contient quelques ingénieux déflecteurs magiques. Contrôlable directement depuis la Terre, les rayons magiques sont amplifiés par une succession de lentilles spécifiques afin que les bras articulés intégrés dans la capsule puissent faire leur prélèvement en dehors de ceux réalisés par les Moldus. Une mission très périlleuse, notamment avec le secret du monde magique, qui repose sur plusieurs membres internationaux, se relayant à tour de rôle pour « sécuriser »  toute fuite d’information.

Le 22 août, si Curiosity aux yeux des moldus effectue ses tours de roues de contrôle, en réalité il n’en est rien : les cailloux posés au sol sont en réalités dans une disposition très particulière, tellement, que les sorciers décident d’en faire un petit tour. Un échantillon est d’ailleurs prélevé, et une potion est déposé goutte à goutte. Conclusion étrange : les premières analyses tendent à penser à un bézoard plutôt qu’une simple roche. Le 8 octobre, moldus et sorciers repèrent une étrange pierre pyramidale. Si les moldus s’intéressent à la composition, l’équipe des sorciers quant à elle voient une réplique miniature de la pyramide de Frikzeth, vaisseau spatial qui aurait pu mener des visiteurs extra-terrestres sur Terre. 
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Et donc ?

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L’analyse de ces deux découvertes sur Mars, et des histoires transmises, explique Herman Jinguer membre des scientificomages, recoupent une hypothèse de la visite d’une civilisation extra-terrestre pendant la période médiévale, avant le début de la construction de Poudlard. A cette époque, il était très courant d’avoir un bézoard chez soi, et il ne semble pas improbable qu’un échange ait été effectué entre un extraterrestre et un habitant de notre civilisation. Le véhicule aurait pu s’arrêter quelques temps après sur Mars, avant de repartir dans des contrées lointaines. Cette théorie est en accord avec le texte présenté ci-dessus : les extra-terrestres seraient-ils venus quelques siècles plus tôt s’inspirer chez nous ? La pyramide de Frikzeth serait-elle une imitation des pyramides égyptiennes connues, après un enième voyage sur notre planète ? Nul ne sait.  
 
Au Chicaneur, l’équipe est unanime : il existe au moins une vie extraterrestre. Sous forme de cellule, plante, extra-mages ou animaux inconnus, nous sommes ouverts à toute découverte. Notre rédaction diverge quant à une réelle visite d’une vie extraterrestre sur notre planète, ou si l’utilisation parfois douteuse de certaines potions peuvent fausser l’analyse. Cependant, on ne peut pas rejeter l’hypothèse qu’une civilisation, plus avancée que la nôtre, soit déjà venue dans le passé nous rendre visite. Il ne reste plus qu’à guetter de pied ferme le prochain voyage cosmique. 

Si vous avez été témoins d’un événement qui puisse se rapprocher d’une visite extra-terrestre, n’hésitez pas, envoyez-nous un hibou à ​contact@obscuruspresse.com
[Ecrit par Melinda] [Illustré par Florence]
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